"Je recherche des savoirs sur l’Antique Victoire et la Guerre de l’Aube."
"Des moyens de repousser Melenkurion Abhata… Je veux dire le Cauchemar, la part spirituelle du Chancre. Selon nos légendes, le Cauchemar aurait littéralement mangé un dieu elfe."
Songeur, il ajouta, faisant le lien avec des explications qu'il avait donné plus tôt : "Un détail de plus qui explique que nous n'avons pas tous la même relation à l'alimentaire."
"Cet événement serait à l’origine de la transe, cette pratique que nous apprenons tous dans notre très jeune âge afin de protéger nos âmes d’être… comment dire… siphonnées."
Aleksandr hocha la tête, aux paroles de l'elfe. Tout ça, il l'avait lu quelque part. Il fouilla dans un des grimoires qu'il avait sur lui et, à la lumière de sa roche magique qu'il approcha en même temps que sa loupe, il lu pendant un instant les lignes sur le sujet. "J'en ai entendu beaucoup de choses, du cauchemar. Le cauchemar pourrait bien l'être, la part spirituelle du chancre. Aucune preuve ne permet de le réfuter. Aucune preuve ne permet de le confirmer non plus."
Il regarda Aerys et lui montra le livre qu'il tenait. "Je ne sais pas si cela peut t'aider ? Tout n'y est pas, mais ça a ravivé quelques souvenirs. La guerre de l'aube, j'ai évidemment les noms des principaux participants. Elle a duré trente ans. Bordel, j'aurais pas aimé avoir à vivre ça, je t'avoue. On a fermé un... mini nid, ici. Un rien du tout, à côté de ce qu'ont fait les participants à la guerre de l'aube. Et rien que ça, c'était déjà une merde sans nom."
Aleksandr regarda Aerys et hocha la tête. "Oui, la transe, ça me parle aussi. J'ai même hésité, un temps, à m'y entraîner. A apprendre à la maîtriser. Mais quelle chose affreuse de ne plus pouvoir dormir, hein ? De ne plus pouvoir rêver. - Regardant un peu plus loin dans la livre, il continua. - La guerre de l'aube est la première mention que l'on a dans les livres du chancre. On peut résolument en déduire que le chancre a apparu dans cette période. Je pense... que ce n'est pas comment le combattre, qu'il faut chercher. Il faut découvrir comment il est apparu. Pourquoi. C'est là, que l'on pourra essayer de s'en débarrasser. Il faut découvrir pourquoi, comment et où."
Le magicien ferma le livre et continua : "Le cauchemar, quelques-uns d'entre nous ont eu plus que l'occasion de lire des choses dessus. On l'a vu. On l'a aperçu dans l'astral."
Aleksandr laissa Aërys répondre. Il attendit ses questions, jetant un regard à Voukoll. Il savait que ce n'était pas exactement le lieu ni le moment pour un cours d'histoire.
Aleksandr Novgarad - Mage de guerre - Lv4 PV :35/35- CA : 14
Sorts : 1 4/4 2 3/3 Trait de feu +5 (1d10 feu) Poigne foudroyante +5 (1d8 Foudre) - Supprime la réaction
Jasna écoutait avec attention. Elle se rendait doucement compte de la chance que la garde lunaire lui apportait de rattraper toutes ces connaissances à côté desquelles elle était passée.
" un mini nid ? Ce n'était donc rien au final ? "
Les propos d'Aleksandr touchèrent plus que prévu la guerrière. Jasna comprenait qu’elle était encore finalement petite face au vaste monde et face à ceux qui le détruisait. Elle voulait grandir. Si combattre ce nid n'avait était qu'un petit geste, il leur fallait devenir plus fort pour combattre des nids de plus en plus grand ! Jasna n'était pas du genre à vaciller, elle venait de prendre une décision. Elle s'était trouvé un but, un objectif plus grand qu’elle n'aurait cru un jour en trouver. Elle voulait guérir le monde. Cela pouvait sembler présomptueux, et bien entendu elle ne le ferait pas seule, mais il fallait toujours viser haut pour se dépasser !
C'est ainsi qu'elle perdit légèrement le fil de la conversation, elle essaya de la reprendre en cours de route. Gardant ces pensées dans un coin de sa tête.
Dans une maison discrète d'un quartier discret, dans la cité naine
Aërys hocha la tête à la présentation du livre d'Aleksandr.
"Merci. Gardes le pour le moment, je l'étudierais ce soir dès fois qu'il y'ait des informations sortant de l'ordinaire des enseignements d'académie de magie."
Le mage elfe estimait qu'on devait rester près à se déplacer et savait surtout que son lien avec Eté ne lui permettrait pas de se plonger dans une lecture assidue.
"N'y vois aucun défi à ta volonté ou tes capacités, mais même des demi-elfes ont échoué dans l'apprentissage de la transe. Mais..." s'adressant à tous...l'expérience de votre combat contre une de ses manifestations mineures m'intéresse. J'entendrais tout ce que vous pourrez m'en dire, y compris le subjectif ou l'inconscient."
Aërys - Mage elfe niv.3
CA : 13 (16 avec Armure de mage actif) _ PV: 14/14 _ Blessures : 0 _ Fatigue : 0 _ Absorption de viandes : 0
Ignir s'affairait avec les autres pour créer l'illusion d'un monstre.
"Que diriez vous de ponctuer cette jolie mise en scène par un petit sort d'illusion pour donner une joli voix à notre monstre, et quelques traces de griffures sur les murs ? De là haut, on pourrait être à bonne distance pour créer l'illusion"
Le Tieffelin montrait là où étaient accroché les cordes.
"Après ça, je doute que nos amis garde viennent de nouveau fureté dans le coin. Et au pire, il se mettront à chasser une chimère."
Ignir Errin, Tieffelin Roublard 1 Rôdeur 2 / Pv 18/23
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
Le gobelin passait le temps de son mieux, mais s'ennuyait beaucoup. Heureusement le soir approchait et dormir était une excellente activité pour quiconque n'avait rien d'intéressant à faire.
Gaspardin & Ludmilla
Sur le chemin menant à Fort Ditelni
Gaspardin avait essayé d'expliquer à Ludmilla en quoi consistait l'engagement d'un paladin. Lui-même manquait de connaissances en Religions et en Arcanes pour développer, et devait se contenter des éléments essentiels : un paladin était quelqu'un qui existait au travers de son serment. Il décidait d'adhérer à une éthique rigoureuse, un chemin de vie dont rien ne pourrait le faire dévier. Le fait d'entrer en phase avec son serment lui permettait d'utiliser des pouvoirs divins, un peu comme les prêtres, mais en moins purement magique, et avec une orientation nettement plus pratique et martiale. Chaque paladin devait trouver son propre serment, celui avec lequel il sentait qu'il ne faisait qu'un.
Le soleil se couchait derrière eux, et Fort Ditelni était déjà plongé dans les ombres. Un moment de frayeur, il leur sembla que la fumée qui s'échappait était celle des vestiges d'un incendie -- qui sait, la trahison de Czepple aurait pu inciter les brigands à attaquer ? Mais tout semblait calme.
Une sentinelle remarqua leur approche. Rien à signaler, à part la curiosité légitime dans ce genre de circonstances.
Terdéric
Les abords de la structure centrale de la ville
L'ancien esclave avait été intimidé un moment par son nouvel état d'être invisible. C'était un peu embarrassant aussi de craindre de réapparaître au milieu de ses ennemis, comme ça, "pschit", mais en même temps c'était assez grisant. Sans plus attendre l'invisible fléau des tyrans trottina vivement vers l'édifice central, une grande tour avec plein d'escaliers et des ponts partout. Il apparut que les très nombreux nains décrits de manière alarmante par Aleksandr étaient éparpillés. Ils officiaient en manicles, observaient et notaient, chacun ayant un secteur à explorer. Ponctuellement le trajet de Terdéric était compliqué par quelques dégâts de la conquête de la ville, mais rien d'insurmontable ni de vraiment problématique. C'était tout de même un peu déconcertant de grimper sans voir ses mains, ça donnait l'impression... de flotter dans un rêve... parfois il fallait toucher ce qui l'entourait pour se sentir vraiment présent. Il respirait et sentait le sol, mais ne voyait ni son ventre ni ses pieds... Malgré cette expérience assez déstabilisante, il parvint à se faire une idée générale de la disposition des lieux. Il repéra même la salle du trône et ce qui ressemblait aux archives ou à la bibliothèque, avec plein de tablettes illisibles. Apparemment cela intéressait beaucoup les nains qui cherchait quelque chose dedans, mais il y avait beaucoup- beaucoup - beaucoup de tablettes !
Aërys, Voukoll, Aleksandr, Jasna
Dans une maison discrète d'un quartier discret, dans la cité naine
Aërys s'appuya sur les indications de Jasna pour trouver rapidement le temple de Forgeron et s'y orienter sommairement par l'intermédiaire d’Été. Toute traces de l'abominable et répugnante corruption avait disparu là où peu avant, d'après la jeune prêtresse, il y avait eu des nids chancreux vomissant des avortons voraces. Si elle n'avait été digne de foi, si elle n'avait été un témoin privilégié des événement, Aërys aurait pu ne pas croire tout cela possible. L'énergie divine avait purifié le temple dans un dernier effort avant que les champions du dieu n'emportassent la forge sacrée. D'intéressant pour un arcaniste, il ne restait qu'un grand portail et des inscriptions sur les murs dans la salle considérée. Le prince Aërys avait un avantage sur Aleksandr : il lisait le nain, et même si présentement, cette langue était mêlée à des hiéroglyphes célestes, en prenant un peu de temps à lire au travers des yeux d’Été, il devinait dans l'ensemble que le portail était alimenté par l'énergie de la forge sacrée. A présent qu'elle n'était plus là, le portail ne présentait aucun risque et le temple n'était qu'une coquille vide -- belle et solennelle, mais aussi protégée de toute corruption à venir.
Pendant ce temps, Aleksandr eut des échanges avec Croac. Le magicien difforme passait par plusieurs expression de grimaces marquant sa surprise, son hébétude, son ennui, sa consternation, et d'autres émotions encore.
Jasna et Voukoll surveillaient les alentours. L'abri avait été bien choisi : il n'intéressait absolument pas les esclavagistes et rien n'indiquait leur présence. Cela ne dispensait pas de prudence, mais permettait d'être raisonnablement tranquille. Voukoll expliqua à voix basse quelques principes importants : "Quant tu travailles avec des lanceurs de sort, ils ont besoin d'un repos absolu pour récupérer tous leurs pouvoirs. Mais quand on sursaute sans arrêt parce qu'on s'attend à être découvert, on dort mal, et les tours de garde n'y changent rien. Là, l'elfe utilise des pouvoirs. Si on veut être efficace à l'aube... il faudra qu'il puisse se reposer complètement. Il parait que tu connais la magie maintenant : quand tu es sur le terrain, ne gaspille surtout pas tes sorts à tort et à travers, parce que tu ne sais jamais quand tu pourras les récupérer. "
Yardan - Wulfstan - Levko - Ignir
Dans la grotte de la cité naine
Les hommes fuirent la zone dans un certain désordre. Yardan était resté à l'arrière, à voir le chaos et la violence. Levko n'avait pas eu le temps d'agir, mais pour lui les choses étaient différentes. Wulfstan était écoeuré, mais convaincu de la nécessité des manoeuvres. Ignir paraissait grisé.
Chacun pouvait fuir seul -- et disparaître dans l'obscurité. Retrouver le chemin de la maison précédemment visitée n'était facile que pour ceux qui voyaient dans le noir, ce qui n'était ni le cas de Yardan ni de Levko. Pour eux, la grotte était très sombre, et par endroit totalement obscure. Seule une pâle clarté provenant de la cité leur permettait de s'orienter sommairement.
Les PJ "absents" sont simplement "perdus" ou réfugiés dans un autre abri. Je vous laisse RP en rentrant à la "maison", du genre "Ignir arriva le premier et s'installa pour attendre ses compagnons..."
Caliobé
Dans la conduite d'aération.
Les renforts finirent par arriver, des fourmis industrieuses, sans imagination, faciles à manipuler et à écraser, qui jacassaient et s'agitaient. Oh ils avaient peur ces êtres insignifiants : ils ne comprenaient rien. Toute leur vie, ils suivaient les instructions, le chemin, la voie bien droite tracée par d'autres. Ils n'avaient pas d'identité, pas d'individualité, pas de visage...
A cet instant Caliobé vit accroupi en face d'elle, dans la conduite d'aération une visage hâve et pâle, les joues grêlées par la variole, les cheveux sales et mal coiffés, un regard morne, souligné par des cernes prononcés. Il ne disait rien, il ne bougeait pas, mais son expression avait quelque chose d'accusateur.
C'était l'homme qu'elle avait tué.
Si je ne suis pas là, vous pouvez me trouver ici ou là ou par MP.
Sans Gaspardin, la route aurait réellement été ennuyeuse -et nettement plus courte aussi mais c'était un autre sujet, à oublier d'ailleurs- et revoir le fort me fit chaud au cœur.
"J'ai l'impression que ça fait une éternité que je suis partie", dis-je à haute voix sans m'en rendre compte.
Lorsque nous approchâmes, je vis une sentinelle sur l'un des postes de garde.
"Le capitaine Galaktion est encore debout ? Je reviens de la part du sergent Voukoll pour faire un compte-rendu de la situation. Ça s'est pas mal compliqué depuis notre départ."
Bon sang, il fallait que j'apprenne à faire un rapport correctement ! Restait à savoir si je pourrai être reçue immédiatement ou demain matin.
Ignir arriva le premier et s'installa pour attendre ses compagnons, il se mit bien dans l'ombre et prépara ses lames, quoique, sa nouvelle dague semblait avoir quelque chose d'attirant, il opta donc pour une épée courte et sa dague. Le Tieffelin se cala contre la pierre dans une position confortable, là où des yeux normaux ne pouvait voir sa silhouette.
Si besoin discrétion +5
Ignir Errin, Tieffelin Roublard 1 Rôdeur 2 / Pv 18/23
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
Nous rentrâmes dans le fort et son austérité me rassura néanmoins. J'indiquai à Gaspardin le mess où il pourrait se reposer et manger tandis que je me rendais dans les quartiers du capitaine, le cœur battant à tout rompre. Je frappais et attendis la permission d'entrer, qui arriva qu bout de seulement quelques secondes.
"Ludmilla, au rapport", dis-je en saluant le capitaine Galaktion.
Alors que je cherchais mes mots, mes yeux firent d'eux-mêmes le tour du bureau, et même si je n'y étais entrée qu'une seule fois, peu avant de partir, quelque chose me rassura dans son agencement. C'était un peu comme si j'étais rentrée chez moi.
J'hésitais un peu à me lancer, cherchant de quelle façon débuter le rapport puis me rappelais. Je commençais par lui relater notre départ du village pour retrouver les bandits qui s'étaient rendus responsables de l'enlèvement d'un grand nombre d'habitants, pour nous rendre compte qu'ils s'étaient séparés en deux groupes. Je ne lui rapportais que succinctement ce que j'avais appris des mésaventures de Wulfstan, Levko et Ignir avant qu'ils ne retrouvent Voukoll et Alexandr pour me concentrer sur celles de mon groupe.
Je lui racontais alors notre arrivée dans ce petit village*, sans aucun signe apparent faisant référence à la Garde lunaire sur nous, celle du prévôt peu après qui nous interrogea immédiatement sur la raison de notre présence, le fait qu'il n'ait pas semblé être dupe. Le moment où nous prîmes la route jusqu'au château seigneurial, route de laquelle nous aurions pu cent fois nous échapper sans mon incapacité à déterminer quelle option serait la meilleure.
J'en arrivais à la partie la plus pénible pour moi, alors que nous nous retrouvions dans ce clan d'esclaves séparés de Tauron, où nous œuvrions à la recherche d'une ancienne cité naine recherchés par nos "maîtres" humains et nains. Cité que nous découvrîmes et que nous explorâmes, découvrant qu'elle était envahie par le Chancre. Je me passais la langue sur les lèvres lorsque j'en arrivais au passage où Jasna, soudainement Éveillée, reçut pour mission divine de nettoyer le temple de Forgeron de toute présence impies. Et alors que notre combat devenait désespéré, l'autre manicle conduite par Voukoll vint à notre aide et nous pûmes, tous ensemble, nettoyer le temple de toute présence Chancreuse.
"Le sergent Voukoll m'a ordonné de ramener la Forge Sacrée du temple de Forgeron et de vous dire qu'il comptait, avec tous les autres, tenter de libérer les esclaves toujours présents là-bas. Du peu que nous avons appris, cette mine serait illégale. L'idée de départ pour venir en aide aux prisonniers était de repasser par l'ancienne cité naine et de récupérer tous les esclaves dans les mines mêmes, quitte à détruire les monte-charges pour empêcher les esclavagistes de les en empêcher.
"Il faut aussi que j'évoque le sort de plusieurs personnes, dis en inspirant fébrilement. Tauron a été retrouvé mort par Wulfstan et les siens. Czepble a déserté lors de l'attaque de brigands subies par sa manicle. Mais dans le même temps nous avons rencontré plusieurs personnes : Terdéric tout d'abord, un ancien esclave qui compte bien s'engager dans la Garde lorsque toute cette affaire sera terminée, le paladin Gaspardin qui m'a accompagné et qui m'a soigné à de nombreuses reprises pendant notre périple, la sorcière demi-elfe Caliobé restée avec le sergent Voukoll et les autres, ainsi qu'un elfe du nom d'Aërys dont je ne connais pas les motivations et qui les accompagne également."
* le nom du pays m'échappe totalement mais j'imagine que Milla n'aura pas oublié un détail pareil
Terdéric se glissa entre les gardes. Une fois arrivé dans la grande salle des archives, il observa le coin, regarda les nains qui étaient en train de faire leurs recherches avant de faire le tour, rapidement.
Il cherchait un moyen d'arriver jusque ici et comptait les gardes. Quand il eut fini, il estima qu'il devait être à une demi-heure et décida de faire demi-tour. Il connaissait maintenant le chemin pour aller jusqu'aux archives et où se trouvaient les nains. Sur le chemin de retour, il essaya de distinguer où se trouvait le seigneur, dans ces galeries entremêlées.
Aleksandr Novgarad - Mage de guerre - Lv4 PV :35/35- CA : 14
Sorts : 1 4/4 2 3/3 Trait de feu +5 (1d10 feu) Poigne foudroyante +5 (1d8 Foudre) - Supprime la réaction