... et bien plus encore (des coffres de rangement presque dans chaque pièce hormis la salle commune)
Il était dans la salle commune, pour les abris, il fallait aller dans une pièce alentours, au choix (ou au hasard), car les sacs de tubercule n'étaient pas étalés dans le lieu d'accueil.
Globalement il pouvait foncer vers devant à droite (chambres de l'auberge), et devant à gauche (cuisine & co.) pour accéder à d'autres espaces.
Si je ne suis pas là, vous pouvez me trouver ici ou là ou par MP.
"Caliobé a attaqué un groupe de dix soldats. Celui qui escortait le seigneur. Elle a l'air d'être en mauvaise posture. Ça pourrait être notre diversion sergent ? Qu'est-ce qu'on fait ?"
Jasna acquiescat. S'ils cherchaient une diversion s'était le moment où jamais. Elle attrapa ses affaires et fit signes aux autres.
"Il faudrait partir maintenant ! un sort d'invisibilité sur les moins discrets d'entre nous et les autres font gaffes. Ça va à tout le monde ? Sergent ? "
Que faisait encore Caliobe ! Et que n'avaient-ils pas compris dans éclaireurs ! Le soldat en elle était ulcérée par le manque de discipline et d'organisation de ses compagnons. Les choses semblaient pourtant pas si difficile à première vue ...
La paladin prit, instinctivement diraient les mauvaises langues avides de clichés, la direction des réserves de vivres.
Il fit de son mieux pour se faufiler derrière un empilement de caisses ou de sacs de toile de jute, misant sur la résistance et la protection que pourraient apporter ce genre d'abri contre un souffle glacé ou un effondrement plus ou moins total du bâtiment.
Une fois passé cet ultime effort pour s'installer au mieux dans cette cachette improvisée, le Halfelin s'efforça de calmer sa respiration haletante et de repousser l'anxiété qu'il ressentait aussi bien pour lui que pour tous les autres résidents du Fort, sans parler des hennissements paniqués qu'il avait entendu...
Il ne fallait pas perdre la Grovaedr de vue. Caliobé lança une dernière décharge magique en direction de cette Naine et de sa chance insolente avant de se diriger vivement, telle une araignée au plafond, à la suite de la Noble et de son garde du corps.
Si la Naine daigne enfin se faire toucher et clamser en toute courtoisie, réaction pour décharge occulte sur le garde du corps. +6 D10+4
Liste des "nouveaux compagnons de Calliobé" : Garde D, Garde A, Naine, Grélin.
Caliobé rompait le combat avec ses besogneux adversaires. Au moins la piétaille avait-elle le bon goût de finir par crever. Plus que deux cibles faibles et il ne resterait que les costauds et la seigneuresse. Elle détallait ! Elle courait comme si elle avait la mort aux trousses, et c'était le cas ! Elle devait avoir dans les vingt à trente mètres d'avance sur Calliobé. Combien de temps parviendrait-elle à courir sans s'essouffler ? Ce n'était pas une guerrière entraînée. Elle ne pourrait faire des dizaines et des dizaines de mètres à ce rythme.
Le garde du corps était juste sur ses talons. Lui savait courir et cherchait des abris. Il y avait de plus en plus de tunnels, des galeries qui partaient à droite et à gauche. Le terrain changeait.
La sorcière avait cependant un problème à régler dans l'immédiat : les moucherons derrière elle s'accrochaient à ses basques et essayaient encore de l'empaler au plafond.
"A L'AIDE !!!" appelait l'un des gardes à la lanterne. Ah c'était certain, des renforts finiraient par arriver, d'un côté ou de l'autre.
Gaspardin
Bien caché, Gaspardin attendait et croisait les doigts. Il entendait des bruits au dehors, des secousses...
Ludmilla et Gringalet
La libération des chevaux fut suivie d'un hurlement tel que Ludmilla préféra rester immobile un moment, d'autant que le cri venait de près. Il y avait un concert de hennissements à fendre le coeur et des craquements de bois terrifiants.
Voukoll autorisa Levko (parmi les plus discrets), Terdéric (qui connaissait le chemin), Aërys (qui lisait le nain) et éventuellement Wulfstan (rôdeur inframonde et nain) à mener une infiltration pour se glisser dans les archives durant les heures de sommeil des nains.
Pendant ce temps, Aleksandr et Jasna étaient invités à se reposer autant que possible pour récupérer leur plein potentiel arcanique, les autres avec eux s'occupant des tours de garde.
Métajeu : je vais sûrement accélérer en narratif / ellipse. Avec un plan pas trop foireux et une équipe compétente, une infiltration discrète est jouable sans prise de risque insensée.
Si je ne suis pas là, vous pouvez me trouver ici ou là ou par MP.
J'avais été sur le point de filer après avoir posé au sol le gobelin quand j'entendis les cris terribles des chevaux : le dragon avait dû leur tomber dessus et devait être en train de les dévorer dans un festin des plus immondes. Je me cachais dans une stalle vide, plaquant mes deux mains sur ma bouche pour m'empêcher de hurler alors que des larmes de pure terreur coulaient sur mes joues. Une partie de moi voulait observer l'extérieur mais une autre ne voulait surtout pas donner de chance au monstre de me repérer.
Au final, la survie prima sur la curiosité et je me rencognais davantage dans ma si fragile cachette.
La sorcière projeta d'une pichenette enchantée un rayon de lumière violette vers le garde qui venait de l'érafler de sa lance puis elle continua à suivre la Seigneuresse pour réduire l'avance qu'elle prenait et alimenter, faute de mieux, la peur qu'elle devait avoir au ventre. Peut-être qu'elle aurait ensuite plus de facilité à s'imaginer le quotidien d'un de ses esclaves ?
Décharge occulte sur Garde B, si jamais il succombe, réaction pour une décharge sur le garde du corps. +6/D10+4
Garde C : éclaire, porte ce qu'il y a à porter, appelle...
Seigneuresse : dernier round à foncer (distance +36m par rapport à Calliobé)
Gard B : se replie avec dernière lanterne
Chevalier : ramasse arbalète et se relève et parle (reste de déplacement perdu).
Attaque d20(17)+7= TOUCHE. Dégâts 2+d8(2)
Calliobé s'était mise en tête d'avancer mais les deux gardes et le chevalier lui collaient aux basques comme une horde de mouches cochères obstinées. Aucun ne parvint à l'empêcher de se mettre en mouvement et elle avait bien amoindri l'un des gardes. Le chevalier se prit les pieds dans les cadavres et chuta. Bien fait !
Le chevalier ordonna au blessé : "Reste en arrière, préviens les autres, toi, avec moi !"
Un adversaire de moins, mais pas de soin facile ! En revanche, Caliobé pouvait désormais foncer vers la seigneuresse.
Profitant du changement d'arme du chevalier suite à sa piteuse gamelle et du fait que le lancier blessé restait en arrière, Caliobé continua d'avancer vers la Seigneuresse et son garde du corps et tenta sa chance, follement, en lançant directement sur la Grovaedr une décharge occulte au moment où son dos apparut un instant derrière son encombrant mais dévoué protecteur.
Iris m'a prévenu que personne n'avait touché qui que ce soit !
Ayant manqué sa cible et échappé au tir du Chevalier, Caliobé décida de revenir à ses premières amours : tuer des gardes fragiles et déchaîner ses rebonds issus des énergies nécromantiques pour décimer le reste de la piteuse compagnie.
Décharge sur le garde restant et s'il succombe, nouvelle tentative sur la Seigneur. S'il ne succombe pas, mais que le chevalier touche... réaction pour réprimande maléfique : JS DEX difficulté 14. 3D10 dégâts ou moitié si JS réussi.