Dans un tunnel entre la caverne de la cité et les mines humaines
Caliobé fit appel à la toute puissance de la Bête pour déchaîner le chaos. Elle constata que ses pouvoirs firent effet sur la moitié du groupe, mais pas sur le dernier porteur de lanterne allumée.
Ignir et Wulfstan
Face à une porte de forteresse barricadée pour une guerre.
Les rôdeurs comprirent que la dernière porte n'était pas surveillée pour une bonne raison : à part en utilisant une puissante magie ou un bélier, ils n'arriveraient pas à passer par là. Ils avaient donc le choix entre rebrousser chemin ou s'enfoncer dans le chemin inconnu et sombre qui plongeait non loin dans les entrailles de la terre.
Levko et Yardan
Dépourvu de vision nocturne, les deux humains étaient dans une situation un peu compliquée. Ils ignoraient où étaient les deux rôdeurs, et ceux-ci étant capables de se déplacer dans le noir, ils pouvaient être n'importe où.
Les gardes de la mines et les renforts se mettaient en ordre pour organiser une battue pour traquer le monstre, il allait falloir agir.
Quand ils avaient dos au mur :
- Sur leur gauche et devant, les zones éclairées et surveillées (plus ou moins, le maillage n'était pas parfait et largement improvisé, mais le risque sérieux) ;
- sur leur droite, les ténèbres...
Croac avertit Aleksandr qu'une battue était en cours. Ignir et Wulfstan avaient déjà pu fuir, mais Yardan et Levko ne voyaient pas dans le noir et étaient en péril.
Voukoll demanda aussitôt s'il était possible de les guider à la porte (en D5) et si les lanceurs de sort pouvaient faire une diversion assez subtile pour permettre à Levko et Yardan d'entrer en ville.
Gaspardin, Ludmilla, Gringalet
Le bout du nez dehors, Gaspardin se fit une idée approximative de la situation.