Igni semblait troublé par cette révélation, il était inquiet. A sa connaissance magie druidique et nécromancie n'allaient pas de paire, ce qui pouvait signifier que le groupe qu'ils poursuivaient pouvait avoir un druide et un magicien...
"Alek, est ce qu'un druide peut utiliser de la magie de nécromancie ?"
De plus si le groupe avait pris soin d'effacer ses trace, c'est peut être parce qu'il se saurait poursuivi par la garde, ce qui voulait dire qu'il était prêt à nous recevoir, peut être même nous tendraient-ils un piège... A ces pensées, les muscles d'Ignir se raidirent, prêt à toute éventualité et il se mit à chercher tout ce qui pourrait paraitre bizarre, tout poste d'observation ou possible embuscade. Cette réaction pouvait d’apparenté à de la paranoïa, mais c'était grâce à ça qu'il était encore en vie...
[Arolavie] Chapitre 1 - Garder la frontière
Une aventure de la garde lunaire de Fort Ditelni à la frontière nord-ouest de l'Arolavie.
Ignir Errin, Tieffelin Roublard 1 Rôdeur 2 / Pv 18/23
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
Voukoll laissa Aleksandr répondre à Ignir avant de réagir à son tour aux remarques sur la divination impossible. Apparemment il n'était pas trop chagriné et n'en voulait pas plus que ça au magicien.
La manicle de Ludmilla fit une pause déguisement et grandes discussions quant à la marche à suivre. Que faire des chevaux ? Fallait-il couvrir à tous prix les oreilles de l'elfe ? Les individus aux physiques atypiques auraient-ils dû se rendre dans l'équipe de pistage plutôt que la reconnaissance au hameau ? Que devait-on dire aux gens qu'on rencontrerait ? Quel serait le prétexte allégué ? Le groupe devait-il passer pour les adeptes de Draaz, guidés par Yardan leur gourou ? Ou bien ils étaient des adeptes druidiques, suivant Tauron ? Etaient-ils des colons en quête d'une terre où installer leur ferme librement ? Des réfugiés qui avaient fui la Forêt blanche, loin au sud, entre l'Arolavie et la Cyrillane, un bois maudit marqué par l'empreinte du Chancre ? De simples voyageurs qui se rendaient chez de lointains cousins pour un mariage ? Les agents d'un marchand ? Les domestiques d'un magicien envoyés en quête d'ingrédients ? Fallait-il laisser entendre qu'ils étaient des maraudeurs ou des vagabonds poussés par la misère ? Ou bien mettre les pieds dans le plat en disant qu'ils étaient les proches de victimes d'une attaque et qu'ils suivaient désespérément les traces de leurs proches emmenés prisonniers dans l'espoir fou de les racheter avec leurs maigres piécettes ?
... D'ailleurs était-il nécessaire de prétendre à une fausse identité ?
Il y avait tant de couvertures possibles que les quatre jeunes gardes lunaires étaient divisés, se perdant en longs débats.
... D'ailleurs était-il nécessaire de prétendre à une fausse identité ?
Il y avait tant de couvertures possibles que les quatre jeunes gardes lunaires étaient divisés, se perdant en longs débats.
Je jetai un œil à Ignir avant de revenir à Voukol. Aux deux, je répondai :
"C'est à l'elfe qu'il faudrait demander ça, mais si je ne me trompe pas, cette possibilité existe. En revanche, les probabilités pour voir une telle chose sont quasiment nulles. J'ai vu des hommes des bois, des rôdeurs ou des druides, des marcheurs de la forêt, utiliser de tels sorts ou des objets magiques capables de les recréer. Une théorie que j'ai l'habitude de mettre en pratique car elle est souvent vraie est le "Rasoir d'Oxakham". La réponse la plus simple est souvent la meilleure. Je pense que nous avons affaire à un profane ayant accès à la magie par le biais d'un outil.
"C'est à l'elfe qu'il faudrait demander ça, mais si je ne me trompe pas, cette possibilité existe. En revanche, les probabilités pour voir une telle chose sont quasiment nulles. J'ai vu des hommes des bois, des rôdeurs ou des druides, des marcheurs de la forêt, utiliser de tels sorts ou des objets magiques capables de les recréer. Une théorie que j'ai l'habitude de mettre en pratique car elle est souvent vraie est le "Rasoir d'Oxakham". La réponse la plus simple est souvent la meilleure. Je pense que nous avons affaire à un profane ayant accès à la magie par le biais d'un outil.
Aleksandr Novgarad - Mage de guerre - Lv4
PV :35/35 - CA : 14
Sorts :
1 4/4
2 3/3
Trait de feu +5 (1d10 feu)
Poigne foudroyante +5 (1d8 Foudre) - Supprime la réaction
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Trait de feu +5 (1d10 feu)
Poigne foudroyante +5 (1d8 Foudre) - Supprime la réaction
Voukol eut un vague mouvement de sourcils à la mention du rasoir du magicien, mais ne releva pas.
" Pas besoin de divination pour comprendre qu'ils ont pris le chemin qu'ils dissimulent. On va avoir un problème : si on piste le nez collé sur le chemin pour chercher de la poussière, on sera lent et repérables par des sentinelles. Si on fouille la zone au hasard, on peut mettre trois plombes et quand même se faire repérer."
Ce fut alors que Croac revint, se posant sur une épaule de son humain et magicien préféré, lissant distraitement ses plumes tout en faisant part de ses découvertes à qui pouvait le comprendre (c'est-à-dire une seule personne...)
" Pas besoin de divination pour comprendre qu'ils ont pris le chemin qu'ils dissimulent. On va avoir un problème : si on piste le nez collé sur le chemin pour chercher de la poussière, on sera lent et repérables par des sentinelles. Si on fouille la zone au hasard, on peut mettre trois plombes et quand même se faire repérer."
Ce fut alors que Croac revint, se posant sur une épaule de son humain et magicien préféré, lissant distraitement ses plumes tout en faisant part de ses découvertes à qui pouvait le comprendre (c'est-à-dire une seule personne...)
A peine avais-je terminé mon laïus sur la magie de dissimulation que Croac se posait sur mon épaule. Ce qu'il me rapporta ne me plus guère.
"Sergent, si je peux me permettre..., commençais-je, avançant de quelques pas en caressant les plumes du corbeau, Croac vient de revenir me faire son... rapport. Il ne voit qu'un marécage impraticable au nord est. Nous ne sommes pas, à mon avis, équipés pour nous y attaquer et je ne vois pas ce que les bandits y auraient fait. Plein nord en revanche, de nombreuses routes se dirigent vers les terres nordiques et un village. Croac a aussi aperçu de nombreux signes de vies. Il ne fait que difficilement la différence entre deux humains, comme nous ne différencions que différemment deux corbeaux. Neanmoins, entre les bergers et les villageois, certaines de ces silhouettes sont certainement des sentinelles."
Je m'arrêtais pour reprendre un peu mon souffle, tandis que Croac allait se cacher dans l'ouverture que laissait la bosse de mon dos. J'essayais difficilement de me redresser un peu, d'avoir un peu de contenance, de présence devant ce sergent qui me dominait de toute sa hauteur, moi le recourbé. Parlant avec les mains, essayant de me donner quelque contenance, je reprenais :
"Quoi qu'il en soit, Croac n'est pas en mesure de les identifier précisément. En revanche, certains d'entre eux sont placés à des emplacements stratégiques, permettant de voir à une grande distance. Il nous faudrait faire de grands détours pour les éviter avec certitude, mais je ne sais où nous devons nous diriger. De plus... Les chevaux vont certainement être une plus grande gêne qu'autre chose, si nous cherchons à rester discret."
L'air de rien, je tentais une approche flexible pour essayer de laisser à Czep la chance de reprendre un peu les choses en main et à notre manicle d'être un tant soit peu plus libre :
"Sans vouloir vous offenser, Sergent, il me semble qu'ici, le moins à même à mener une mission impliquant la discrétion, c'est vous. Peut-être serait-il plus judicieux que vous vous occupiez des chevaux ?"
Voilà, j'avais osé me lancer, restait à voir la réaction du vieux fou. De mon côté, je reculai de quelques centimètres, juste à distance suffisante pour n'être plus à portée de son poing...
"Sergent, si je peux me permettre..., commençais-je, avançant de quelques pas en caressant les plumes du corbeau, Croac vient de revenir me faire son... rapport. Il ne voit qu'un marécage impraticable au nord est. Nous ne sommes pas, à mon avis, équipés pour nous y attaquer et je ne vois pas ce que les bandits y auraient fait. Plein nord en revanche, de nombreuses routes se dirigent vers les terres nordiques et un village. Croac a aussi aperçu de nombreux signes de vies. Il ne fait que difficilement la différence entre deux humains, comme nous ne différencions que différemment deux corbeaux. Neanmoins, entre les bergers et les villageois, certaines de ces silhouettes sont certainement des sentinelles."
Je m'arrêtais pour reprendre un peu mon souffle, tandis que Croac allait se cacher dans l'ouverture que laissait la bosse de mon dos. J'essayais difficilement de me redresser un peu, d'avoir un peu de contenance, de présence devant ce sergent qui me dominait de toute sa hauteur, moi le recourbé. Parlant avec les mains, essayant de me donner quelque contenance, je reprenais :
"Quoi qu'il en soit, Croac n'est pas en mesure de les identifier précisément. En revanche, certains d'entre eux sont placés à des emplacements stratégiques, permettant de voir à une grande distance. Il nous faudrait faire de grands détours pour les éviter avec certitude, mais je ne sais où nous devons nous diriger. De plus... Les chevaux vont certainement être une plus grande gêne qu'autre chose, si nous cherchons à rester discret."
L'air de rien, je tentais une approche flexible pour essayer de laisser à Czep la chance de reprendre un peu les choses en main et à notre manicle d'être un tant soit peu plus libre :
"Sans vouloir vous offenser, Sergent, il me semble qu'ici, le moins à même à mener une mission impliquant la discrétion, c'est vous. Peut-être serait-il plus judicieux que vous vous occupiez des chevaux ?"
Voilà, j'avais osé me lancer, restait à voir la réaction du vieux fou. De mon côté, je reculai de quelques centimètres, juste à distance suffisante pour n'être plus à portée de son poing...
Dernière modification par Edzart le 22 juin 2016, 20:39, modifié 1 fois.
Aleksandr Novgarad - Mage de guerre - Lv4
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Poigne foudroyante +5 (1d8 Foudre) - Supprime la réaction
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Milla était perplexe, incapable de se décider sur la marche à suivre. Elle ne connaissait rien à la vie hors de la maison des Lubor, ne nourrissant sa curiosité que sur les rumeurs et ragots colportés par les ménestrels de passage et qui avaient une forte tendance à l’exagération des faits. Elle regarda ses compagnons, dans l’espoir qu’ils aient une idée mais ils semblaient aussi perdus qu’elle.
Qu’est-ce que je dois faire ?... C’est moi qui commande, mais si j’écoute Voukoll, c’est uniquement parce que je suis « regardable »…
La rouquine, perdue, s’enfonçait de plus en plus dans un bourbier d’incertitude coupable quant à ses propres capacités. Quelle était la solution la plus simple, la plus logique ? Se faire passer pour des voyageurs cherchant un endroit où s’installer ? Vu leur passif à chacun, ce serait assez aisé de se faire passer comme tel, mais si Yardan pouvait éventuellement donner le change, Tauron, en tant qu’elfe…
« Tauron, je ne sais pas comment nous serons accueillis si nous arrivons tous ensemble comme cela : je pense nous faire passer pour des gens cherchant à s’installer dans un autre village après avoir fuit le nôtre, suite à une razzia perpétrée par une bande de pillards. Mais je ne vois pas comment intégrer ta présence dans notre groupe, peut-être en tant que guide, ou autre chose ? »
Elle attendit sa réponse tout en se concentrant sur l’autre élément « spécial » de la manicle. D’ailleurs, Comment on fait pour Yardan ?... Si on doit être des voyageurs, il ne peut pas passer pour quelqu’un de ma famille, on a rien en commun physiquement. Alors comme…
L’idée qui lui traversa la tête en un éclair la fit rougir violemment jusqu’aux oreilles tellement celle-ci lui sembla saugrenue et déplacée. Elle le regarda d’ailleurs comme s’il était responsable de sa gêne mais, en y réfléchissant…
Nononononononononon !!! C’est stupide ! hurlait son moi intérieur, alors que ses pas la dirigeait malgré elle vers le moine, avec l’impression (qui n’en n’était certainement pas une !) que plus elle se rapprochait de lui, plus son visage prenait la couleur d’un coquelicot à la belle saison. Son cœur battait violemment dans sa poitrine alors qu’elle s’arrêtait à deux pas de l’adepte, incapable de le regarder dans les yeux au moment où elle lui demanda d’une voix hachée :
« Y-Yard-dan, est-ce que… que… que… Tu voudrais bien te… faire… passer pour… mon… fiancé ?...J-j-j’veux dire ! Comme ça, ça facilitera nos échanges si on a l’air suffisam…ment proche… Si on doit… euh... parler seule à seul, ça sera plus… enfin moins... »
MAIS QUELLE CRUCHE !!!
« BREF ! Tu me tutoies, tu m’appelles Milla tant qu’on est au village, et LA PREMIÈRE que je surprends à se moquer finit dans la rivière la plus proche ! »
La gêne ressentie accroissait d’autant son besoin de tenir la langue de Jasna en respect, n’ayant aucunement besoin et encore moins envie d’être mise en boite maintenant. Plus tard, elles pourraient en rire toutes les deux mais pas aujourd'hui, c’était déjà suffisamment… Soupirant, elle patienta le temps que Yardan formule une réponse -COMPRÉHENSIBLE, s’il vous plait !-, le visage brûlant comme si elle s’était trop approchée d’un incendie.
Qu’est-ce que je dois faire ?... C’est moi qui commande, mais si j’écoute Voukoll, c’est uniquement parce que je suis « regardable »…
La rouquine, perdue, s’enfonçait de plus en plus dans un bourbier d’incertitude coupable quant à ses propres capacités. Quelle était la solution la plus simple, la plus logique ? Se faire passer pour des voyageurs cherchant un endroit où s’installer ? Vu leur passif à chacun, ce serait assez aisé de se faire passer comme tel, mais si Yardan pouvait éventuellement donner le change, Tauron, en tant qu’elfe…
« Tauron, je ne sais pas comment nous serons accueillis si nous arrivons tous ensemble comme cela : je pense nous faire passer pour des gens cherchant à s’installer dans un autre village après avoir fuit le nôtre, suite à une razzia perpétrée par une bande de pillards. Mais je ne vois pas comment intégrer ta présence dans notre groupe, peut-être en tant que guide, ou autre chose ? »
Elle attendit sa réponse tout en se concentrant sur l’autre élément « spécial » de la manicle. D’ailleurs, Comment on fait pour Yardan ?... Si on doit être des voyageurs, il ne peut pas passer pour quelqu’un de ma famille, on a rien en commun physiquement. Alors comme…
L’idée qui lui traversa la tête en un éclair la fit rougir violemment jusqu’aux oreilles tellement celle-ci lui sembla saugrenue et déplacée. Elle le regarda d’ailleurs comme s’il était responsable de sa gêne mais, en y réfléchissant…
Nononononononononon !!! C’est stupide ! hurlait son moi intérieur, alors que ses pas la dirigeait malgré elle vers le moine, avec l’impression (qui n’en n’était certainement pas une !) que plus elle se rapprochait de lui, plus son visage prenait la couleur d’un coquelicot à la belle saison. Son cœur battait violemment dans sa poitrine alors qu’elle s’arrêtait à deux pas de l’adepte, incapable de le regarder dans les yeux au moment où elle lui demanda d’une voix hachée :
« Y-Yard-dan, est-ce que… que… que… Tu voudrais bien te… faire… passer pour… mon… fiancé ?...J-j-j’veux dire ! Comme ça, ça facilitera nos échanges si on a l’air suffisam…ment proche… Si on doit… euh... parler seule à seul, ça sera plus… enfin moins... »
MAIS QUELLE CRUCHE !!!
« BREF ! Tu me tutoies, tu m’appelles Milla tant qu’on est au village, et LA PREMIÈRE que je surprends à se moquer finit dans la rivière la plus proche ! »
La gêne ressentie accroissait d’autant son besoin de tenir la langue de Jasna en respect, n’ayant aucunement besoin et encore moins envie d’être mise en boite maintenant. Plus tard, elles pourraient en rire toutes les deux mais pas aujourd'hui, c’était déjà suffisamment… Soupirant, elle patienta le temps que Yardan formule une réponse -COMPRÉHENSIBLE, s’il vous plait !-, le visage brûlant comme si elle s’était trop approchée d’un incendie.
Ludmilla
Guerrière niveau 2 | Paladine 2
CA : 17
Arme : épées courtes x2 (+4 toucher ; 1d6+2 dgts) | arbalète légère (+4 toucher ; 1d8+2 dgts, rechargement)
PV/dés : 33/4D10 | actuels : 33
Blessures : 0 | Fatigue : 0
Guerrière niveau 2 | Paladine 2
CA : 17
Arme : épées courtes x2 (+4 toucher ; 1d6+2 dgts) | arbalète légère (+4 toucher ; 1d8+2 dgts, rechargement)
PV/dés : 33/4D10 | actuels : 33
Blessures : 0 | Fatigue : 0
Levko était revenu de son petit tour d'inspection ordonné par le sergent comme le corbeau revenait lui aussi de son long vol de reconnaissance.
Pratique la bestiole d'Aleks, elle leur évitait pas mal de marche à pied et faisait un parfait espion.
Le rapport qu'Aleks fit était moins réjouissant, ils allaient devoir être discrets pour glaner des informations plus précises sur les pillards. Mais au moins ils avaient une piste sérieuse quant à leur position.
Restait à voir la réaction du sergent qu'Aleks voulait cantonner à la garde des chevaux et les décisions que Czep allait prendre pour la suite.
Levko aurait préféré avoir la force de frappe du sergent à portée de lame si les choses tournaient mal. En cas de problème, ils allaient devoir courir vite, très vite même et à ce petit jeu, tout le monde ne serait pas en mesure de se dégager d'une telle situation.
Levko se félicita de n'avoir pas été désigné chef de la manicle.
Pratique la bestiole d'Aleks, elle leur évitait pas mal de marche à pied et faisait un parfait espion.
Le rapport qu'Aleks fit était moins réjouissant, ils allaient devoir être discrets pour glaner des informations plus précises sur les pillards. Mais au moins ils avaient une piste sérieuse quant à leur position.
Restait à voir la réaction du sergent qu'Aleks voulait cantonner à la garde des chevaux et les décisions que Czep allait prendre pour la suite.
Levko aurait préféré avoir la force de frappe du sergent à portée de lame si les choses tournaient mal. En cas de problème, ils allaient devoir courir vite, très vite même et à ce petit jeu, tout le monde ne serait pas en mesure de se dégager d'une telle situation.
Levko se félicita de n'avoir pas été désigné chef de la manicle.
Levko - Roublard 6
DV:6D8 - PV 45/45pv - 0 niv Fatigue - CA 15 - 3/3 pts héroïsme
"Céraste" : Rapière+1 +7 / 1d8+4 - Buveuse de poison
Atq sournoises : +3d6 / Fulgurance sournoise / Roublardise / Esquive instinctive
Mon site pour Dragons
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Atq sournoises : +3d6 / Fulgurance sournoise / Roublardise / Esquive instinctive
Mon site pour Dragons
Eh merde... Je le sens pas..."certains d'entre eux sont placés à des emplacements stratégiques, permettant de voir à une grande distance. Il nous faudrait faire de grands détours pour les éviter avec certitude, mais je ne sais où nous devons nous diriger. De plus... Les chevaux vont certainement être une plus grande gêne qu'autre chose, si nous cherchons à rester discret."
Nan, nan, stop, arrête-toi, nan putain, ta gueule abruti!"Sans vouloir vous offenser, Sergent"
Je me cognais le poing contre le front. Oh putain, je sens que ça va encore dégénérer..."il me semble qu'ici, le moins à même à mener une mission impliquant la discrétion, c'est vous. Peut-être serait-il plus judicieux que vous vous occupiez des chevaux ?"
[ L'aigle d'Arolavie ] — Wulfstan Eisenbrand — Chasseur nain (lvl 4).
PV : 32/32 — CA 15.
Emplacements de sorts : Niveau 1 — 3/3.
Carreaux : 9/20.
PV : 32/32 — CA 15.
Emplacements de sorts : Niveau 1 — 3/3.
Carreaux : 9/20.
Voukoll eut un instant une grimace exprimant un mélange de surprise et de "tu te fous de ma gueule ?" en même temps qu'autre chose (un soupçon de réflexion avant de piquer une gueulante ?)
Il se rapprocha du bleu avec une expression mauvaise -- mais les hommes ici commençaient à avoir l'habitude, un peu -- :
" Sauf votre respect ? Tous les gars qui commencent par ça en manquent justement complètement, c'est juste de l'enrobage pour des pseudo courageux qui n'assument pas ce qu'ils veulent dire et qui prennent les autres pour des cons !"
" Tu veux de la discrétion ? Bah mon gars, même si t'es aussi bosselé et tordu que les arbrisseaux d'la lande, tu l'es sûrement pas plus que moi. Je vous vois bien, votre manicle de voleurs se faire choper à cause du mago qu'a la bosse qui dépasse !"
" Alors je vais te dire ce qui vas se passer : on laisse les roublards partir en éclaireur, et toi et moi, avec les canassons, on va aller dans le marais. Y'a quelqu'un qu'on droit retrouver. J'suis même prêt à parier qu'elle t'aimera bien, tordue comme elle est."
Le plan étant établi, la manicle... se séparait... pour quelques heures semblait-il, avec rendez-vous vers les marais...
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