Ignir ne se fit pas prier par l'ordre de Voukoll. La fatigue accumulé de ces derniers jours commençait à tirer. Travailler en équipe n'était pas habituel pour lui. Il déballa soigneusement son sac de couchage et se glissa à l'intérieur. Content d'avoir trouvé ce qui ressemblait le plus à une famille, il s'endormit rapidement, non sans avoir lâché un.
"Bonne nuit camarades"
[Arolavie] Chapitre 1 - Garder la frontière
Une aventure de la garde lunaire de Fort Ditelni à la frontière nord-ouest de l'Arolavie.
Ignir Errin, Tieffelin Roublard 1 Rôdeur 2 / Pv 18/23
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
La nuit s'écoula sans imprévu, fraîche et calme.
Le ciel pointait derrière les montagnes, diluant doucement le bleu profond d'un pâle jaune d'or liquide.
Voukoll s'étirait. La nuit avait été courte, comme la précédente. Il alla aux latrines, se rendit au ruisseau, se rafraîchit superficiellement, ramena un sceau d'eau fraîche, le posa, ranima le feu, soupira, pris la casserole, la lava, la mit sur le feu, jeta du saindoux dedans, puis de la farine bise, mélangea, et ajouta de la farine bise et la laissa roussir un peu dans la graisse, juste avant de délayer avec de l'eau tout en mélangeant pour limiter les risques de grumeaux et obtenir un liquide épais et opaque. Le bouillon de soupe prenait forme. Le sergent poursuivi en coupant des bouts de viande séchée et salée qu'il jetait dans l'eau qui chauffait. Voyant le serpolet qui traînait, il en ajouta un peu dans le liquide.
D'un regard morne, il constatait qu'il faudrait faire un deuxième service : trop de monde à nourrir avec la première casserole.
Le ciel pointait derrière les montagnes, diluant doucement le bleu profond d'un pâle jaune d'or liquide.
Voukoll s'étirait. La nuit avait été courte, comme la précédente. Il alla aux latrines, se rendit au ruisseau, se rafraîchit superficiellement, ramena un sceau d'eau fraîche, le posa, ranima le feu, soupira, pris la casserole, la lava, la mit sur le feu, jeta du saindoux dedans, puis de la farine bise, mélangea, et ajouta de la farine bise et la laissa roussir un peu dans la graisse, juste avant de délayer avec de l'eau tout en mélangeant pour limiter les risques de grumeaux et obtenir un liquide épais et opaque. Le bouillon de soupe prenait forme. Le sergent poursuivi en coupant des bouts de viande séchée et salée qu'il jetait dans l'eau qui chauffait. Voyant le serpolet qui traînait, il en ajouta un peu dans le liquide.
D'un regard morne, il constatait qu'il faudrait faire un deuxième service : trop de monde à nourrir avec la première casserole.
Aêrys avançait dans la forêt, tourna la tête quand cela était nécessaire pour que ses andouillers ne cognent pas dans des branches basses. Secouant ses nasaux, il pouvait sentir l'odeur de braise charrié par le léger vent nocturne. Le campement des hommes n'était pas loin. Sa conscience animale, enfouie dans ses pensées mais toujours présente hurlait de ne pas s'approcher car ils étaient trop nombreux. La nature le savait, les petits rongeurs le savait, les hiboux le savait. Chaque animal n'ayant pas perdu son instinct primitif de survie savaient qu'il fallait se tenir à l'écart des créatures debout, prédateurs des prédateurs. Aërys avait accepté sa situation, entre semi-captivité et liberté, objectif et devoir. S'approcher davantage n'apporterait rien. Vint finalement une grive, légère et colorée, laissant derrière elle une trainée céleste, qui lui proposa de s'enfoncer dans les sous-bois pour découvrir, encore et toujours la beauté de la nature invisible à l'oeil nu avec pour seul sonorité le bruissement des feuilles sous ses sabots.
L'elfe mage avait ouvert les yeux de bonne heure pour découvrir un corbeau particulièrement curieux de ses possessions. Aërys savait cette race animale particulièrement susceptible et ne prie pas le risque de se faire pincer les doigts en essayant de le chasser d'un revers de la main. Il reprit l'ouvrage commencé avant sa transe nocturne pour y ajouter quelque touches de peinture selon les couleurs qu'il avait ressenti dans son abdomen et sa gorge. Il posa ensuite la petite toile pour prendre son grimoire. Le corbeau était toujours là, inamovible en dehors de sa tête qui s'inclinait en réaction aux bruits environnants. Aërys décida de pivoter pour lui tourner le dos. Pour protéger son étude secrète, une grive d'essence céleste vint se poser tel un rempart inutile qui ne pouvait physiquement en aucun cas s'opposer au noir volatile.
Au matin, l'elfe prie le temps d'échanger quelques mots avec ceux qu'il n'avait que croisé. Puis patienta avant d'avoir à son tour un bol de soupe. Il écartant délicatement le peu de morceaux de viande séchée échu à son écuelle en les repoussant avec sa propre cuillère en noyer, s'évertuant à les toucher le moins possible. N'importe lequel de ses voisins pouvait voir ce manège et bien évidemment, il ne ferait pas le difficile pour en être délesté.
L'elfe mage avait ouvert les yeux de bonne heure pour découvrir un corbeau particulièrement curieux de ses possessions. Aërys savait cette race animale particulièrement susceptible et ne prie pas le risque de se faire pincer les doigts en essayant de le chasser d'un revers de la main. Il reprit l'ouvrage commencé avant sa transe nocturne pour y ajouter quelque touches de peinture selon les couleurs qu'il avait ressenti dans son abdomen et sa gorge. Il posa ensuite la petite toile pour prendre son grimoire. Le corbeau était toujours là, inamovible en dehors de sa tête qui s'inclinait en réaction aux bruits environnants. Aërys décida de pivoter pour lui tourner le dos. Pour protéger son étude secrète, une grive d'essence céleste vint se poser tel un rempart inutile qui ne pouvait physiquement en aucun cas s'opposer au noir volatile.
Au matin, l'elfe prie le temps d'échanger quelques mots avec ceux qu'il n'avait que croisé. Puis patienta avant d'avoir à son tour un bol de soupe. Il écartant délicatement le peu de morceaux de viande séchée échu à son écuelle en les repoussant avec sa propre cuillère en noyer, s'évertuant à les toucher le moins possible. N'importe lequel de ses voisins pouvait voir ce manège et bien évidemment, il ne ferait pas le difficile pour en être délesté.
Aërys - Mage elfe niv.3
CA : 13 (16 avec Armure de mage actif) _ PV: 14/14 _ Blessures : 0 _ Fatigue : 0 _ Absorption de viandes : 0
CA : 13 (16 avec Armure de mage actif) _ PV: 14/14 _ Blessures : 0 _ Fatigue : 0 _ Absorption de viandes : 0
Croac s'amusait, fouillait, et comme on ne le chassait pas d'un bon coup de pied, il prenait ses aises.
Il voletait, puis s'envolait, regardait au loin, laissait l'air frais le porter, dansait sur les courants... hum... le soleil n'avait pas encore beaucoup chauffé le sol, ça manquait de courant ascendant...
... puis il tournoya encore un peu et s'installa sur l'épaule et la bosse d'Aleksandr en alternance, s'occupant désormais à lisser son plumage.
... quelque chose attira son attention, et le poussa à croasser d'une manière que seul son maître pouvait comprendre.
Le corbeau sautillait et s'excitait tout en croassant, indifférent aux désagréments auditifs qu'il causait.
Il voletait, puis s'envolait, regardait au loin, laissait l'air frais le porter, dansait sur les courants... hum... le soleil n'avait pas encore beaucoup chauffé le sol, ça manquait de courant ascendant...
... puis il tournoya encore un peu et s'installa sur l'épaule et la bosse d'Aleksandr en alternance, s'occupant désormais à lisser son plumage.
... quelque chose attira son attention, et le poussa à croasser d'une manière que seul son maître pouvait comprendre.
Le corbeau sautillait et s'excitait tout en croassant, indifférent aux désagréments auditifs qu'il causait.
L'elfe repoussait avec soin la viande...
...
De quoi était constitué de bouillon ?... une graisse ?... de l'eau ?... de la farine ...? ...
...
Étrange, il y avait un goût qu'il ne connaissait pas ...
... la viande aurait-elle parfumé ainsi le liquide ?...
... mystère...
...
De quoi était constitué de bouillon ?... une graisse ?... de l'eau ?... de la farine ...? ...
...
Étrange, il y avait un goût qu'il ne connaissait pas ...
... la viande aurait-elle parfumé ainsi le liquide ?...
... mystère...
Le réveil du matin fut au moins aussi pénible que celui de la veille, pour ce que je me rappelais en tout cas : j'avais mal partout, surtout à la tête, je ne me sentais pas vraiment reposée et mon premier regard sur le monde fut particulièrement flou. Je me redressai toutefois avec moins de difficulté que prévu, grattant le paillasson roux qui me tenait lieu de chevelure.
Ho bon sang, ça va être une corvée à brosser, pensai-je avant de me rappeler avec une certaine aigreur que je pouvais oublier l'idée de me coiffer correctement.
Je me levai et me dirigeai d'un pas encore peu assuré jusqu'au feu où le Sergent Grognon avait préparé le rata, le saluai d'un air encore ensommeillé avant de prendre une écuelle qu'il me tendit. Dans un moment de flottement, je me rendis compte que l’uniforme que je portai n’était absolument pas à ma taille, mais plutôt à celle… du sergent. Avant de piquer un fard, je m’intéressai subitement au contenu de mon bol, cherchant à me faire oublier tout en faisant exactement le contraire. Alors que je relevai le nez de mon repas désormais avalé pratiquement sans mâcher, je vis du coin de l’œil le nouveau venu triturer son repas. M’arrêtant sur cette scène peu banale, je me demandai s’il ne cherchait pas à en évaluer la dangerosité. Cette vision me laissa perplexe, moi qui venait justement de le dévorer sans chercher à savoir si ce qui était dedans était comestible ou pas (après réflexion, je me dis que le sergent n’avait aucun intérêt à nous empoisonner. Enfin, pas tous).
L'estomac rempli, je me sentis légèrement mieux, sentant que mon mal de crâne passerait bientôt. J'observai à la dérobée, tel un chaton trop curieux, Aërys qui prenait grand soin de.... je ne savais pas trop ce qu'il faisait en fait et je ne savais pas trop non plus comment l'aborder ; il se dégageait de sa personne quelque chose de... princier. L'écart entre nos deux mondes d'origine était juste gigantesque, et cette sensation ne m'incitait pas à lui adresser la parole autrement qu'en lui demandant ce qui pourrait lui faire plaisir, comme cirer ses chaussures ou nettoyer ses vêtements, telle la bonne petite esclave que j'étais encore il n’y a pas si longtemps.
Les habitudes ont la vie dure, me dis-je en prenant une moue résignée.
Je me relevai de façon un peu plus assurée, et me tournant vers Voukoll, lui demandait :
« Sergent, permission d’aller me nettoyer au ruisseau ? »
Ho bon sang, ça va être une corvée à brosser, pensai-je avant de me rappeler avec une certaine aigreur que je pouvais oublier l'idée de me coiffer correctement.
Je me levai et me dirigeai d'un pas encore peu assuré jusqu'au feu où le Sergent Grognon avait préparé le rata, le saluai d'un air encore ensommeillé avant de prendre une écuelle qu'il me tendit. Dans un moment de flottement, je me rendis compte que l’uniforme que je portai n’était absolument pas à ma taille, mais plutôt à celle… du sergent. Avant de piquer un fard, je m’intéressai subitement au contenu de mon bol, cherchant à me faire oublier tout en faisant exactement le contraire. Alors que je relevai le nez de mon repas désormais avalé pratiquement sans mâcher, je vis du coin de l’œil le nouveau venu triturer son repas. M’arrêtant sur cette scène peu banale, je me demandai s’il ne cherchait pas à en évaluer la dangerosité. Cette vision me laissa perplexe, moi qui venait justement de le dévorer sans chercher à savoir si ce qui était dedans était comestible ou pas (après réflexion, je me dis que le sergent n’avait aucun intérêt à nous empoisonner. Enfin, pas tous).
L'estomac rempli, je me sentis légèrement mieux, sentant que mon mal de crâne passerait bientôt. J'observai à la dérobée, tel un chaton trop curieux, Aërys qui prenait grand soin de.... je ne savais pas trop ce qu'il faisait en fait et je ne savais pas trop non plus comment l'aborder ; il se dégageait de sa personne quelque chose de... princier. L'écart entre nos deux mondes d'origine était juste gigantesque, et cette sensation ne m'incitait pas à lui adresser la parole autrement qu'en lui demandant ce qui pourrait lui faire plaisir, comme cirer ses chaussures ou nettoyer ses vêtements, telle la bonne petite esclave que j'étais encore il n’y a pas si longtemps.
Les habitudes ont la vie dure, me dis-je en prenant une moue résignée.
Je me relevai de façon un peu plus assurée, et me tournant vers Voukoll, lui demandait :
« Sergent, permission d’aller me nettoyer au ruisseau ? »
Ludmilla
Guerrière niveau 2 | Paladine 2
CA : 17
Arme : épées courtes x2 (+4 toucher ; 1d6+2 dgts) | arbalète légère (+4 toucher ; 1d8+2 dgts, rechargement)
PV/dés : 33/4D10 | actuels : 33
Blessures : 0 | Fatigue : 0
Guerrière niveau 2 | Paladine 2
CA : 17
Arme : épées courtes x2 (+4 toucher ; 1d6+2 dgts) | arbalète légère (+4 toucher ; 1d8+2 dgts, rechargement)
PV/dés : 33/4D10 | actuels : 33
Blessures : 0 | Fatigue : 0
Voukoll était occupé à entretenir son équipement avec un soin maniaque. Les lames étaient tranchantes, elles sortaient facilement de leur fourreau, ... et...
... Ludmilla l'interrompit pour demander si elle pouvait se nettoyer à un ruisseau situé à moins de 10 m.
Il la regarda une seconde sans rien dire, avant de répondre.
"Permission accordée. Et aussi celle d'aller aux latrines. Pour le cas où tu voudrais demander après. Ah t'as oublié de demander la permission de manger, tu me feras cinq tours de cour au pas de course en rentrant au fort."
Sans attendre de répondre, il consacra de nouveau toute son attention à son équipement et à vérifier le moindre accroc.
... Ludmilla l'interrompit pour demander si elle pouvait se nettoyer à un ruisseau situé à moins de 10 m.
Il la regarda une seconde sans rien dire, avant de répondre.
"Permission accordée. Et aussi celle d'aller aux latrines. Pour le cas où tu voudrais demander après. Ah t'as oublié de demander la permission de manger, tu me feras cinq tours de cour au pas de course en rentrant au fort."
Sans attendre de répondre, il consacra de nouveau toute son attention à son équipement et à vérifier le moindre accroc.
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Nailseater
- Messages : 453
- Inscription : 01 avr. 2016, 00:34
- Localisation : Montpellier
Jasna se leva de bon pied. Elle chercha de suite des yeux sa sœur qui avait décidé de se lever seule. C'était en soi une bonne nouvelle, mais Jasna décida de suivre le mouvement histoire de surveiller.
Une fois levé et "habillée", elle vint saluer les personnes debout avant de manger elle aussi. Quand Milla demanda l'autorisation d'aller à se savonner, la prêtresse ne put s'empecher de rire à la réponse de Voukoll et surtout à la tête de son aînée !
"Dites, quelqu'un aurait du savon et ... des rechanges ? Attend moi Milla, je t'accompagne. "
Une fois levé et "habillée", elle vint saluer les personnes debout avant de manger elle aussi. Quand Milla demanda l'autorisation d'aller à se savonner, la prêtresse ne put s'empecher de rire à la réponse de Voukoll et surtout à la tête de son aînée !
"Dites, quelqu'un aurait du savon et ... des rechanges ? Attend moi Milla, je t'accompagne. "
Jasna Guerrière 1 Prêtresse 2
PV : 33 Actuels : 28
Combat :
Attaque : +6 Dégâts : 1D8+4 + 1d6| 1D10 + 4 +1d6 C.A. 17
3 sorts mineurs
1 : Détection de la magie|Éclair traçant|Mot de guérison |Imprécation| Blessure* |Simulacre de vie*
2 :
PV : 33 Actuels : 28
Combat :
Attaque : +6 Dégâts : 1D8+4 + 1d6| 1D10 + 4 +1d6 C.A. 17
3 sorts mineurs
1 : Détection de la magie|Éclair traçant|Mot de guérison |Imprécation| Blessure* |Simulacre de vie*
2 :
Voukoll eut l'espace d'une seconde un léger sourire satisfait à la réaction de Jasna, puis se retourna et récupéra un pain de savon dans son paquetage, qu'il lança à la prêtresse.
" Ta sœur a déjà mon change."
" Ta sœur a déjà mon change."
Ignir se réveilla doucement, sorti du sommeil par une délicieuse odeur délicieuse qui parlait à son estomac. Il rangea soigneusement ses affaires, pris de la délicieuse soupe, non sans saluer tout le monde et être assez perplexe devant le comportement de l'elfe. Titillé par sa curiosité il allât s'assoir à coté de lui, constatant qu'il ne mangeait pas de viande... Comportement des plus étranges pour le tieffelin.
"Excuse moi Aêrys, ma question pourra te sembler des plus bête... Mais pourquoi met tu ta viande de coté ?"
"Excuse moi Aêrys, ma question pourra te sembler des plus bête... Mais pourquoi met tu ta viande de coté ?"
Ignir Errin, Tieffelin Roublard 1 Rôdeur 2 / Pv 18/23
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
CA 12
Combat :
Epée courte : 1d6+3
Dague : 1d4+3
Arc court : 1d6+3
"Un dés pour les meujeter tous, une table pour les réunir. Un dès pour les faire jouer et dans le jdr les lier."
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